Il me fait plaisir de vous transmettre cette opinion provenant d’un bon ami de longue date, M. Pierre Tremblay, qui se qualifie lui-même de « ancien ingénieur, assez connaisseur de l’aluminium par sa carrière, un peu philosophe par goût ». 

Malheureusement, peu de gens  qui désirent s’exprimer trouvent écoute auprès des médias d’information. 

Bonne lecture,

https://jacquespelletier.ca/wp-content/uploads/Tous_interpelles_sans-exception.pdf

3 réponses pour “« Tous interpellés, sans exception », Pierre Tremblay”

  • Si on veut se positionner définitivement pour protéger notre langue et notre culture, il faut créer notre propre pays.
    Si on veut se positionner définitivement pour se donner de la richesse collective, il faut se débarrasser de Rio Tinto et créer du développement par nos propres outils.
    Les deuxième et troisième de l’aluminium appartiennent à d’autres, alors que ce ne sont que des lingots dont nous tirons parti.
    Un observatoire sur l’aluminium, qu’est-ce que cela va manger en hiver? Qu’est-ce qu’on pourrait bien ajouter à ce que Marc Urbain Proulx et consorts ont, depuis 40 ans, émis.
    Pessimistes intelligents, optimistes volontaires mais, sans changement du paradigme endémique, réalistes soumis.
    ML

    • Bravo pour votre tirade. Quant à l’Observatoire sur l’aluminium, cet organisme aurait un budget pour se mettre à jour dans le domaine du développement de l’aluminium dans le monde. L’UQAC et, par conséquent, ceux qui y travaillent actuellement n’ont pas nécessairement le temps et les moyens financiers pour effectuer cette recherche, publier les résultats et mettre une pression sur Rio et le gouvernement pour « s’enlever les doigts dans le nez ».

  • Un commentaire comme suite à celui de Marcel Lapointe sur le projet d’observatoire universitaire sur l’industrie de l’aluminium.
    Je reprends le sarcasme de M.Lapointe: un observatoire sur l’aluminium ça mange en hiver la même chose que la quinzaine d’autres observatoires universitaires québécois sur divers domaines de l’économie ou de la sociologie importants pour le Québec, tels l’observatoire sur les USA et celui sur l’industrie aéronautique.
    La filière québécoise de l’aluminium utilise quelque 20% de l’hydroélectricité produite sur le territoire et représente selon Marc-Urbain Proulx 32 600 emplois. Pertinent pour la société québécoise de s’y intéresser de manière systématique et cela peu importe le régime politique. De plus, cette filière si importante pour le Québec et vitale pour le SLSJ, se dirige vers de grands bouleversements sur le plan mondial en raison de la transition énergétique inévitable.
    L’industrie mondiale de l’aluminium produit quelque 65 millions de tonnes de métal primaire et douze (12) fois plus de tonnes de CO2 par année. Bouleversement assuré au cours duquel nous devrons tirer habilement du jeu notre épingle d’aluminium.
    En terminant, sur l’échiquier de l’industrie de l’aluminium dont les pièces maitresses nous manquent, avancer un pion, vous êtes contre?

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