N’hésitez pas à communiquer avec moi par courriel ou par téléphone, que ce soit pour:

  • me faire part de vos commentaires,
  • collaborer à la préparation d’un projet d’un nouveau regroupement pour les municipalités fusionnées en 2002 et pour les autres communautés du Haut-Saguenay,
  • élaborer un programme relatif à la gouvernance ou enfin
  • définir la meilleure structure pour fédérer les forces vives du Saguenay-Lac-Saint-Jean  afin d’interpeler les gouvernements supérieurs en matière de développement économique

Il me reste encore quelques exemplaires des livres que j’ai publiés et qui sont décrits ci-dessous. Tout proposition raisonnable sera considérée.

Le Toponyme Chicoutimi, une histoire inachevée, de ses origines géologiques à 2002

Toponyme ChicoutimiLes Amérindiens avaient l’habitude, à l’instar des Européens, de donner un nom aux cours d’eaux qu’ils fréquentaient, aux montagnes, aux lieux de campements, de portage ou d’établissement qui faisaient partie de leur quotidien. Toutefois, contrairement aux explorateurs européens qui nommaient ces lieux du nom du saint dont c’était la fête, dans la liturgie catholique, les Amérindiens utilisaient un mot qui avait une signification géographique ou relatif à son environnement, la faune par exemple. Chicoutimi est un de ces noms amérindiens. Connu depuis que deux jésuites l’ont signalé et y ont passé, en 1661, possiblement utilisé par les Amérindiens depuis plusieurs siècles auparavant, le toponyme Chicoutimi serait d’origine Innu et signifierait, quelque chose comme «jusqu’où l’eau est profonde».

Cet essai a pour but de vous faire connaître son parcours depuis les tout débuts de sa formation géographique, de son baptême, par les Amérindiens, de son utilisation par les premiers explorateurs européens qui ont associé le nom de Chicoutimi successivement à un poste de traite, à une mission catholique, à un campement de bûcheron, à un canton, à un village, à une ville et à une sous-région jusqu’en 2002, année noire pour ce toponyme qui s’apparente presqu’à un assassinat de sa mémoire. Mais il n’est pas trop tard pour rétablir sa notoriété.

Éditions Ichkotimi, 2016, 328 pages couleurs, 8½ x 11, illustrées de plus de 300 tableaux, photos et cartes géographiques anciennes.

Prix: 40$

Saguenay sous l’administration Tremblay

Nous sommes en 2001.  Un vent de fusions municipales souffle sur la province.  Le Haut-Saguenay n’est pas en reste.  La presque totalité des municipalités de cette sous-région forme une nouvelle ville désignée, dans un climat de controverse, du nom de Saguenay. Les citoyens de cette nouvelle ville dont le nom n’était alors pas encore officialisé, furent convoqués à une élection le 25 novembre 2001 pour élire le maire et 19 conseillers municipaux.  Jean Tremblay, maire de l’ancienne ville de Chicoutimi, fut élu et y restera sans interruption  jusqu’au 5 novembre 2017.

Ce règne de 15 ans a-t-il été profitable pour les citoyens de Saguenay?  La ville s’est-t-elle enrichie?  Avec un peu de recul, est-ce que les citoyens ont eu raison de renouveler, à trois reprises, le mandat de Jean Tremblay et de la majorité des conseillers pleinement dévoués à leur maire?

C’est la question à laquelle l’auteur tentera de répondre.  Cependant, tous les aspects de la vie municipale ne pourront être abordés.  L’auteur a voulu, avant tout, informer le lecteur sur le type de  gouvernance appliqué par Jean Tremblay et son entourage et sur les conséquences financières de leurs décisions en regard, d’une part, du fonctionnement courant de la ville et, d’autre part, de son développement économique.

Éditions Ichkotimi, 2017, 185 pages couleurs, 6 x 9, contenant plus de 120 tableaux.

Prix: 25$