Si ce n’est déjà fait, veuillez lire l’avant-propos.
Une richesse foncière qui fait du sur place et ne rapporte pas de revenus additionnels, des déficits de fonctionnement à répétitions, des gels de taxes injustifiés, des dépenses d’investissements qui n’ont rien à faire avec les services aux citoyens, des fonds de pensions déficitaires, voilà autant d’éléments qui s’additionnent pour que Saguenay devienne la ville dont le taux d’endettement par 100 $ de richesse foncière est le plus élevé parmi les villes-cibles au Québec. Pendant que Trois-Rivières réduit son taux de 36,7 %, que Sherbrooke et Lévis limitent leur augmentation à 15 % et 6 % respectivement, Saguenay pète la balloune à 46,5 % et cela, en 15 ans seulement. On nous prédit de nouveaux emprunts de plusieurs centaines de millions de dollars. Vous y comprenez quelque chose? Il est temps de changer le modèle d’affaires.
La crème sur le gâteau au tableau 10