Si ce n’est déjà fait, veuillez lire l’avant-propos.

Rien de surprenant à ce qu’une ville avec un territoire démesuré ne soit pas capable de boucler son budget. Et ce n’est pas le mirage créé par les ajustements à des fin fiscales qui change quoi que ce soit. On va se chercher des liquidités en empruntant et, boum, le tour de magie fait apparaître un surplus.

Toutes les villes au Québec présentent des rapports financiers qui sont élaborés selon les mêmes règles. Comment se fait-il que les trois villes-cibles ont un bilan positif à ce chapitre et n’ont pas besoin des ajustements à des fins fiscales pour dégager un surplus?

Il est clair que les revenus de cette ville sont insuffisants pour qu’elle puisse rencontrer ses obligations. Au moins, peut-on, une fois pour toute, se questionner? Quel manque de courage! La plupart des gens que je rencontre sont d’accord qu’on ne peut continuer à ce rythme mais on sent un défaitisme quant à la recherche de solutions pour y remédier.

Les conséquences au tableau 9

Liens suggérés;

Je persiste et je signe: Ville de Saguenay est non viable – Jacques Pelletier %

Année 2022 : « annus miserabilis » – Jacques Pelletier

La conciliation à des fins fiscales, la bouée de sauvetage du budget … – Jacques Pelletier

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *